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Nazca
(films et livres)

Né d'un père projectionniste et d'une mère ouvreuse au Variété de Moulon-Les-Bouses, Nazca (de son vrai nom : Nazca) eut très tôt le goût des salles obscures car là où il y a des gênes il y a du plaisir.

Ayant découvert le cinoche comme tout un chacun à travers des navets télévisionnés et moult blockbusters, Nazca eut tôt fait de se détourner du vulgaire pour aller faire un tour du côté du ciné socio-psychologique scandinave et de films d'outre-Atlantique où on n'y comprend que dalle.

Plus tard, le cinéma asiatique l'agréa et il ingurgita un nombre incalculable de films venus tout droit de l'extrême-orient, du navet au chef-d'oeuvre. Puis, suite à la vision en version originale non sous-titrée de Rashomon de Kuruzawa, il partit au Japon pour devenir acteur.

Malheureusement, malgré une belle prestation dans Les Sept Samouraïs, ce fut un échec cuisant.

Depuis il se console en faisant son cinéma sur effet larsen.

Nazca dans Les sept samouraïs, c'est celui de gauche au fond.

 

Professeur Mellotron
(disques et chroniques musicales)

De son vrai nom Gaston Mellotron, le professeur Mellotron est le plus éminent spécialiste du prog qui va du 29 février 1971 à 8 heures 26 jusqu'au 29 février 1971 vers 22 heures trente, je n'y étais pas mais d'après les témoins il paraît que ça caillait grave ce soir-là.

En musicologue averti et ouvert à toutes sortes d'écoles musicales le professeur Mellotron est en outre féru de musique concrète qui fait pouet, de black-metal où ça fait woarrrrrrr et même le meilleur spécialiste au monde des oeuvres complètes de Max Couillefade, le plus grand virtuose de cet instrument délicat et peu usité appelé scie égoïne pour lequel le professeur Mellotron a écrit le célèbre "Putain ça me scie !" suite à l'écoute répétée et bouleversante de l'oeuvre: "Requiem pour une scie égoïne en ut mineur".

En ce moment le professeur Mellotron a accepté, moyennant quelques largesses (un T-shirt Dream Theater que Nazca ne mettait plus et un vieux poster de Metallica un peu froisé), de collaborer à effet larsen, le site qui fait mal aux oreilles, afin de prodiguer ses précieux conseils musicaux.

La seule et unique photo du Professeur Mellotron.

 

Eric
(disques, chroniques musicales, films, livres, anecdotes)

Didier-Gérard Chignole (Eric est un pseudo qui lui a été inspiré par le célèbre acteur de "La tour Montparnasse infernale", son film préféré) fut initié très tôt à la musique. Il devait être entre 5 et 6 heures du matin. Et comme il faisait encore nuit, il prit la sage décision de rester couché.

Sa triste enfance passa de Mozart à Bach et il eut tôt fait de se révolter contre une éducation musicale oppressante où il se faisait chier comme un rat mort. C'est ainsi qu'un jour il lança un : "Mozart, c'est de la merde !" qui provoqua l'ire de son mélomane de père qui lui cria : "Tu n'es plus mon fils !". Ceci eut pour conséquence le départ définitif d'Eric du douillet cocon familial alors que sa mère pleurait des "Mon Dieu !" à n'en plus finir, que son frère se marrait comme un bossu et que dehors il pleuvait comme vache qui pisse.

Un jour de printemps, on ne sait plus si c'était lundi ou mercredi, alors qu'un soleil chaleureux dardait ses rayons amicaux sur le beau visage d'Eric qui errait comme une âme en peine en quête de la musique ultime entre 8 h et 23 h 32, le destin facétieux posa sur lui un doigt bienveillant. C'est ainsi qu'il fit la découverte du rock progressif dont il devint rapidement un des plus grands fans.

Récemment la découverte du metal-prog a changé radicalement sa vie, sa vision des choses et son ouïe par la même occasion. En effet, il est devenu rapidement sourd. Ceci enlevant toute crédibité à ses chroniques musicales.

Eric au dernier concert de metal-prog.