Adrien Dufourquet profite d'une permission pour se rendre à Paris afin de voir Agnès, sa fiancée qui est une snobinarde chieuse et insupportable. Seulement cette dernière baigne dans une histoire de vol de statuettes et se fait bientôt kidnapper et embarque pour le Brésil. C'est l'occasion pour Belmondo - toujours décontracté malgré le contexte - de courir dans tous les sens, de castagner, de sauter de partout et de baratiner tout ce qui bouge. Entre de fréquentes séquences longuettes (notamment certaines scènes d'action), j'ai suivi d'un oeil ces aventures sans grande passion malgré l'inévitable abattage de Belmondo. "L'homme de Rio" est une sorte de Tintin burné, ancêtre commun des films de comédie-aventure de Belmondo comme il en fera un certain nombre, notamment avec De Broca.