Schulze,
c’est toujours pareil
ou pas loin, que ce soit hier
soir vers 22h 31 où il
y a quarante piges à
22 h 31, itou.
Schulze,
c’est soporifique et new
age pour les uns, sensuel, langoureux
pour les autres, totalement
inconnu pour la grande majorité.
A
l’époque de "Body
Love", Schulze avait donc
déjà tout dit...
et disait toujours la même
chose tantôt. Et une même
chose, juste pour ceux qui ont
toujours besoin d’une
telle musique.
"Body
Love 2", c’est toujours
un truc à rallonge qui
plane mais, il ne me fait pas
planer, il me repose. Avec du
synthé of course, du
moog, du minimoog et même
du polymoog.
En
plus, la pochette est sympa.
C’est important la pochette.
Personnellement je n’écoute
jamais du black-metal à
cause des pochettes.
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l'image
du jour
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Les
plus beaux moments de
la longue et merveilleuse
carrière électronique
de Klaus Schulze !
Il
était super content,
il avait enfin reçu
son nouveau moog à
injection séquentielle
plus capteur inductif
multifonctionnel et
accélération
de 0 à 100 km/h
en 5,9 secondes.
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