ACCUEiL

disques

CHRONiQUES MUSiCALES

AUTRES

Énergiques et investis

lron Maiden
Seventh Son Of A Seventh Son (1988)


En 1988, année terrrrrrrrible s’il en fut - j’en veux pour preuve qu’en plus de ce truc d’Iron Maiden ( en bukusu : ceux qui essaient de faire des pochettes de plus en plus merdiques) il y eut aussi "Big Thing" de Duran Duran -, en 88, donc, Iron Maiden sortait ce disque qu’un fan du groupe que j’ai rencontré l’autre soir à un concert de Black Shit Priest reconnaissait comme leur meilleur.

Je ne vois pas pourquoi puisque les gars y faisaient déjà leur sempiternel heavy-metal de série (j'ai écouté quelques autres trucs d'eux). En plus ce même fan affirme que c’est le disque le plus "progressif" (entre guillemets) du groupe. Et je réponds : "Oui, si Beyoncé fait du musette !"

Certes, je reconnais que les zailleronmédène, ouvriers sérieux et appliqués font bien leur truc, très pros, énergiques et investis, mais bon, ce disque est vite inécoutable du fait de la voix horrible du "chanteur" (entre guillemets aussi), un gars qui force beaucoup trop et épuise rapidement. Tellement que là, tel que tu ne me vois pas sortant de l'écoute, je suis vanné.

 

_____________________________________________________________________________

LA CRitiQUE D'UN AUtRE DiSQUE DE 1988
_____________________________________________________________________________

Quinze Ans D'amour
Jacques Brel


... Le talent, c'est d'avoir envie de faire quelque chose...