Régulièrement
on nous sort des live de Hendrix
comme on le fait d’ailleurs
pour d’autres artistes tels
Coltrane ou Mingus. A quand ceux
de Davis et des Doors, le meilleur
groupe de rock du monde de tous
les temps de l'année 1970
?
Et comme d’hab', vu que
tout cela date d’il y a
un max de plombes, on retrouve
toujours les mêmes titres
déjà parus sur d’autres
live que j’ai déjà
chroniqués ici même,
qu’ils fussent d’époque
ou posthumes.
Certes, Hendrix fut un grand de
la guitare branchée, comme
quelques autres d’ailleurs
qui ne moururent pas à
27 berges ou n'avaient un look
délirant, ne jouaient pas
avec les dents ni ne brûlaient
leur gratte sur scène,
et cet album à la pochette
plutôt moche et au son un
peu juste ne présente que
peu d'intérêt car
redite.
On y retrouve comme ailleurs les
solos de guitare sympas, un talent
pour se réapproprier encore
quelques standards du rock (les
mêmes que dans d’autres
live, dommage), le côté
psychédélico-bluesy
plaisant, les vocaux pas toujours
captivants. Le tout en attendant
le live suivant... l’année
prochaine sans doute.
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l'image
du jour
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Les
instants les
plus délicats
de la courte
et fulgurante
carrière
de Jimi Hendrix
!
Le
voici brûlant
sa guitare pour
se réchauffer
au stade municipal
d’Helsinki
le 5 janvier
1969 à
22 h 31, il
faisait -10
lors d‘un
concert qui
ne fut malheureusement
pas enregistré.
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