Hackett
est un musicien qui fut, tu ne
le sais peut-être pas, le
guitariste du groupe Mellotron
Mayonnaise... pardon... je voulais
dire Genesis, un combo qui jadis
inventa presque à lui tout
seul le rock progressif, genre
musical dont le grand Marcel Proust
aurait dit un jour, à juste
raison, permets que je le cite
: « Le prog, c'est l'espace
et le temps rendus sensibles au
coeur »... à moins
que ce soit Phil Collins dont
tu ne sais peut-être pas
non plus qu'il évolua dans
des temps anciens dans le même
groupe qu’Hackett mais en
faisant plus de bruit.
Et
aujourd'hui, Hackett développe
sous cette pochette métaphorique
et moche un méga concept.
Je t’explique un peu car
je n’ai pas grand chose
à écrire sur ce
disque dont je voulais quand même
mettre quelques lignes vu que
tout ce qui rappelle de près
ou de loin l’ancien groupe
de Gabriel m’intéresse,
on a ses faiblesses.
Donc, la nightwhale, ce sont les
pensées médiocres
qui bouffent tout et le circus,
c’est le monde dans lequel
Hackett, par la force des choses,
doit évoluer et pour se
sauver de tout cela, y’a
-t-il quelque chose ?
Eh bien oui : L’AMOUR
!
Oui, le vrai, celui qui permet
au gars Steve de faire encore
des albums en écrivant
des textes qu’il doit être
seul à comprendre.
Mais bon, on peut se contenter
de la musique, au diable les paroles
!
L’oeuvre proposée
ici a quelques points plutôt
faiblards :
La
voix d’Hackett (vu le nombre
imposant de guests il aurait pu
inviter aussi un chanteur), les
compos un peu lourdes, les arrangements
qui craignent et la guitare trop
démonstrative, c’est
sur que depuis le temps, le Hackett,
il maîtrise super bien la
chose.
Au final on a un album pour en
faire encore un alors qu’on
a plus bézef à exprimer.
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l'image
du jour
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Steve
Hackett a toujours été
un sacré déconneur
!
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Vroum, vroom !
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