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The Circus And The Nightwhale
Steve Hackett (2024)


Hackett est un musicien qui fut, tu ne le sais peut-être pas, le guitariste du groupe Mellotron Mayonnaise... pardon... je voulais dire Genesis, un combo qui jadis inventa presque à lui tout seul le rock progressif, genre musical dont le grand Marcel Proust aurait dit un jour, à juste raison, permets que je le cite : « Le prog, c'est l'espace et le temps rendus sensibles au coeur »... à moins que ce soit Phil Collins dont tu ne sais peut-être pas non plus qu'il évolua dans des temps anciens dans le même groupe qu’Hackett mais en faisant plus de bruit.

Et aujourd'hui, Hackett développe sous cette pochette métaphorique et moche un méga concept. Je t’explique un peu car je n’ai pas grand chose à écrire sur ce disque dont je voulais quand même mettre quelques lignes vu que tout ce qui rappelle de près ou de loin l’ancien groupe de Gabriel m’intéresse, on a ses faiblesses.

Donc, la nightwhale, ce sont les pensées médiocres qui bouffent tout et le circus, c’est le monde dans lequel Hackett, par la force des choses, doit évoluer et pour se sauver de tout cela, y’a -t-il quelque chose ?

Eh bien oui : L’AMOUR !

Oui, le vrai, celui qui permet au gars Steve de faire encore des albums en écrivant des textes qu’il doit être seul à comprendre.

Mais bon, on peut se contenter de la musique, au diable les paroles !

L’oeuvre proposée ici a quelques points plutôt faiblards :

La voix d’Hackett (vu le nombre imposant de guests il aurait pu inviter aussi un chanteur), les compos un peu lourdes, les arrangements qui craignent et la guitare trop démonstrative, c’est sur que depuis le temps, le Hackett, il maîtrise super bien la chose.

Au final on a un album pour en faire encore un alors qu’on a plus bézef à exprimer.

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l'image du jour _____________________________________________________________________________

Steve Hackett a toujours été un sacré déconneur !

- Vroum, vroom !