Beethoven avait dit de cette
oeuvre : "C'est
la plus grande que j'ai composée".
C'est sûr qu'elle est
grande. Parfois un peu trop
peut-être. Et ça
déborde, ça s'épanche
un maximum. Ca en impose. Tellement
qu'on se sent tout petit à
côté.
Malgré
tout cette messe solennelle
touche par son humanité,
son lyrisme, ses choeurs majestueux,
ses solistes bouleversants et
ses orchestrations monumentales
(biffe les mentions inutiles
selon tes goûts).
J'aurais
pu me lancer dans des considérations
ridicules du style France-Musique.
Je ne le ferai pas étant
donné que j'en serais
incapable et que ce serait pédant
et chiant. En plus personne
ne me lirait alors que, par
le biais d'une chronique courte,
j'espère au moins deux
lecteurs vu les scores dramatiques
que fait effet larsen
alors que ceux qui encensent
à longueur de temps des
merdes sans pareilles ont des
milliers de visiteurs. "Volens
nolens" comme disait l'autre.
Bref,
je terminerai en disant que
cette oeuvre gigantesque un
peu rebutante, c'est aussi quand
même des moments envahis
d'émotion comme les passages
magnifiques de "Sanctus"
et "Benedictus".
PS
: La pochette est celle de l'album
que je possède et qui
est la version de Karajan (Herbert,
Von). A remarquer que pour une
fois, même si son nom
est écrit en plus gros
que celui de l'auteur, on ne
le voit pas sur la pochette.
Le fait est assez rare pour
être signalé.
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un
autre grand
moment de musique
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Le
plus beau de la carrière
de Madonna !
Dans
le temps elle ne manquait
pas de talent.
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