Dans cet Arena-là, j’entends
exactement la même chose
que dans les rares précédents
albums que j’ai écoutés
de ce groupe de prog néo-ancien
dont il faut savoir que leur nom
signifie en sylhetie : ceux
qui ont une nouvelle idée
chaque fois qu’il y a une
triple éclipse sur Jupiter.
Ce
CD est un produit de série
sans réelle âme,
bien fait, certes, avec des mélodies
très accessibles, mais
sans rien de nouveau, d’original
ou de pertinent. Juste un autre
album de fonctionnaires appliqués
et frileux, ne sortant jamais
de leur zone de confort. Soit
un truc à peine sympa un
petit moment, mais amené
à lasser, vite, très
vite.