Ami
progueux, cette chronique est
pour toi... et toi, le vilain
qui n'aimes pas le prog, tu peux
passer ton chemin et aller écouter
le nouvel album de Metallironmaiden.
Réjouis-toi,
très cher frère
progueux car voici une oeuvre
qui possède un souffle
épique semblable à
celui de ce grand groupe d'antan...
comment il s'appelle déjà
?... zut, j'ai oublié son
nom, c'est bête.
Tout
y est. Ah, le mellotron ! Oh,
la flûte ! Beurk, l'infâme
pochette ! Oula, les jolis petits
breaks ! Et les climats sont sombres
et prenants, quelle mélancolie
! Les morceaux sont symphoniques
et torturés, que d'émotion
! Et plein de belles histoires
magiques qui font joli entre de
l'heroic-fantasy et des légendes
scandinaves pour celui qui comprend
le Tolkien dans le texte, tiens,
j'ai vu passer un farfadet !
Quant
aux titres chantés, ils
le sont comme des titres de...
euh... néo-prog. Mais bon,
ça ne compte guère
car l'album est le plus souvent
instrumental.
Bref,
voici une oeuvre qui sera géniale
et jouissive pour toi, le fan
de prog, et aussi un truc hyper-rance
et chiant pour le non-fan. Mais
de ce dernier on s'en fout, il
n'était pas invité
sur cette chronique.
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l'image
du jour
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Les
moments les plus exaltants
du quotidien du
grand Jordan Rudess du
grand Dream Theater !
Il
ne sait plus quoi faire
pour faire
grandir ses plantes plus
vite.
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